Andreas Ma vie sous confinement
Heureusement, il n'y a pas de cas de covid dans ma famille et parmi mes amis pour le moment. C'est ma préoccupation principale ces jours-ci. Moi, j'habite seule à Bruxelles et je ne fais pas de partie des groupes risques. Par conséquent, je suis un rêve d'un point de vue épidémiologique.
Ayant un caractère introspective et songeur, je trouve très curieux observer le changement de ma humeur au cours du confinement. Tout d'abord, je contemplais la situation dans un sens logistique, comme un problème qu’on pourrait résoudre à l'aide de la science et de la technologie. Maintenant, je pense que les questions sociales, économiques et politiques ont gagné de l'importance.
De la même façon, j'ai changé d'avis sur le télétravail. Dans mon département, on doit télétravailler chaque deuxième semaine, et on peut être présent l'autre semaine au bureau selon les nécessités. Au début, j'ai préféré rester chez moi au maximum possible afin d'éviter la contagion. Ayant l'impression que les mesures contre le virus fonctionnent plutôt bien, je suis arrivé à apprécier la variation et la structure offertes par une journée au bureau et la possibilité de parler à une autre personne confiée ? d'une manière directe.
Chez moi, je peux m'occuper dans la cuisine ou en lisant. Je suis content d'avoir apporté une sélection de ma bibliothèque à Bruxelles. Ce qui me manque, c'est la possibilité de voyager, en particulier à Berlin où j'aimerais prendre soin de mes plantes qui auraient survécu. Je crains que les restrictions des libertés en Europe produisent un dommage considérable au longtemps.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 9 autres membres